Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


 
AccueilAccueil  PortailPortail  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
-Dreamy-
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
-Dreamy-


Nombre de messages : 1692
Age : 32
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyDim 30 Aoû - 12:47

Vous écrivez, vous aimez cela ou ça vous détend tout simplement?
Je vous propose si ça vous en avez envie bien sûr de les publier ici.
Smile
Revenir en haut Aller en bas
-Dreamy-
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
-Dreamy-


Nombre de messages : 1692
Age : 32
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyDim 30 Aoû - 12:54

Alors je me lance avec une tite nouvelle que j'ai écris y a un ans. Par contre en relisant je viens de m'apercevoir qui avait beaucoup de fautes et de répétions avec un mélange de temps. Rolling Eyes (A lire si vous vous ennuyez uniquement).


I

Il était une fois, une petite fille, âgée de 16 ans, qui habitait dans une ville de Paris. Elle est mince, belle, avec des yeux bleu, comme l'océan. Sa mère, s'appelle Katerine, elle est mère au foyer, elle est fine, blonde, près de la cinquantaine. Son père lui, est grand, un peu enrobé, près de la soixantaine. Cette famille, était une famille heureuse, du moins, pas pour Laureen. Pour elle, sa famille va mal, car elle a découvert que son père, trompait sa mère, avec une collègue de travail. Ne savant pas quoi faire, elle décidait d'aller en parler à sa mère, qui à ça grande surprise, était au courant elle aussi. Depuis ce temps, ses parents n'arrêtent pas de s'engueuler, n'arrivent jamais à se parler en étant d'accord, ils n'arrivent même plus à prendre des repas ensemble, sans que cela ce termine en engueulade. Tout ceci était de trop pour Laureen, qui n'arrivait plus à supporter cette ambiance si lourde. Il lui arrivait souvent de vouloir en finir avec la vie, pour ne plus avoir à vivre cela, même si, elle savait qu'il y avait d'autres choses beaucoup plus graves dans la vie. Cette situation la faisait souffrir, de voir ses parents s'engueuler sans cesse, sa mère pleurer à cause de son père qui s'en fiche, le fait de savoir que ce ne sera jamais plus pareil entre ses parents, elle et son père, que l'ambiance chaleureuse d'avant, à laisser place à une ambiance glaciale.
Un soir, alors qu'elle était dans sa chambre en écoutant de la musique, elle entendait ses parents s'engueuler une fois de plus, comme si c'était de plus en plus violent. Laureen en ayant assez entendu, sous le coup de la haine et de la tristesse, prit un sac, puis prit un minimum d'affaires qu'elle glissait dedans. Puis, les larmes aux yeux, elle sortit de sa chambre, par la fenêtre, en déchirant sa robe, qu'elle aimait tant, qui était tellement précieuse à ses yeux, car celle-ci venait de son grand père décédé, il y a à peu près 7 ans de cela. Un morceau de sa robe, resta pendue à sa fenêtre. Laureen, toujours en larme, couru, couru de toutes ses forces, pour quitter, s'éloigner le plus rapidement de cette maison, qui la faisait si souffrir.

La pluie se met à tomber, Laureen marche dans la rue, ses larmes confondues avec la pluie, réfléchissant à ce qu'elle allait faire par la suite. Etant dans ses pensées, elle bouscula une personne, elle apercevra par la suite, que c'était une fille, qui semblait être du même âge qu'elle. Cette fille avait l'air si triste elle aussi. Alors Laureen s'arrêta, la regarda, lui disait pardon puis lui demanda ce qui n'allait pas. La fille qui s'appelait Sofia, répondait qu'il n'y avait rien, que ça allait passer. Laureen voyant bien que ce n'était pas le cas, la prenait par la main, puis l'emmenait dans un endroit calme, où il y avait comme bruit de fond, l'eau qui coulait de la fontaine. Les deux filles, passèrent la nuit à faire plus ample connaissance, à se raconter leurs problèmes. En une nuit, les deux filles, connaissait tout l'une sur l'autre, elles étaient devenues les meilleures amies du monde, elles se comprenaient tellement bien, car elles avaient les mêmes problèmes. Sofia avait elle aussi, fugué pour les mêmes raisons qu'elle.

Le jour se levant, les deux filles étant fatiguées, décidèrent de se reposer un peu, dans un endroit bien caché, pour que l'on ne puisse pas les retrouver.
Elles se cachèrent dans une forêt, puis s'endormir rapidement. Un peu plus tard, elles furent réveillées par un bruit de train, ce qui leur avait donné une idée, partir d'ici, le plus vite possible. Alors, en se regardant dans les yeux, elles eurent le même réflexe, celui de courir pour rattraper le train, et monter à bord...


II

Voyant le contrôleur arriver de loin elles filèrent se cacher dans un wagon où se trouvait tous les bagages des occupants du train. Elles entendirent les pas du contrôleur puis plus rien. Elles décidèrent de rester dans ce wagon pendant tout le long du voyage, jusqu'à trouver une destination ou aller. Pendant le chemin, les deux amies parlaient, l'une voulait continuer le trajet jusqu'au bout, mais l'autre trouvait cela risqué et ne voulait pas de problème. Elles se mirent donc d'accord de s'arrêter deux arrêts plus tard. Une fois le train arrêté, les deux fille parttèrent rapidement par l'arrière du train, pour ne pas être vue. Sofia ayant remarqué un vieux banc, à l'écart de la foule, proposa à Laureen de s'asseoir, pour faire le point. Les deux filles étaient à la fois paniquée, car elles se trouvaient dans un lieu qui leur étaient inconnu, mais excitée, car elles pouvaient enfin respirer, ne plus entendre leurs parents s'engueuler. Après avoir parler plus de quinze minutes, elles avaient décidée, de continuer leur chemin, pour chercher un abris où elles pourraient se reposer. Laureen, proposa de faire du stop, voyant que toutes les deux étaient à bout de force. Une voiture s'arrêta, le conducteur demanda aux filles, leur destination. Sofia pris la parole, en répondant qu'elles ne savaient pas trop, qu'elles ne connaissaient pas cette endroit, qu'elles cherchaient juste un endroit pour passer la nuit. Le conducteur souriait, il leur proposa son aide, les filles faisant confiance à l'homme qui avait une apparence rassurante, acceptèrent...


III

L'homme s'arrêta devant une maison qui était la sienne, il expliqua aux filles qu'elles pouvaient y passer la nuit, en attendant qu'elles trouvent un logement. Les deux filles remercia l'homme de les héberger. Il montra les lieux puis tous, s'installèrent à table. Sofia et Laureen en profitèrent pour faire connaissance avec l'homme qui s'appelait Marc puis sa femme Lucie. Elles les trouvèrent très sympathique. Au cours du repas, elles apprirent un évènement tragique, ces deux personnes si sympathique avaient eu un fils, qui est mort d'une maladie à l'âge de 15 ans. Les deux filles montèrent dans la chambre que leur avait montré Marc.


Il y avait deux lits, côte à côte , ce qui réjouissait les deux amies.
Elles se couchèrent, encore émue par la nouvelle qu'elles venaient d'apprendre lors de ce repas. Dans la nuit, Laureen bougeait dans tous les sens, elle poussait quelques cris, ce qui réveilla Sofia, qui lui fit une petite tape sur l'épaule. Son amie se réveilla en sursaut, toute transpirante, paniquée.
- "Tout va bien?" demande Sofia.
- "J'ai fait un horrible cauchemar, désolé si je t'ai réveillée." répond Laureen.
- "Ce n'est rien, tu ne veux pas me le raconter? demande Sofia.
- "J'ai rêvée que leur fils n'était pas mort d'une maladie, que c'était Lucie et Marc qui l'avait tué. Qu'ils l'avaient enfermé dans une cave, empoisonné sa nourriture, si il voulait pas manger, sa mère le battait... Ils voulaient nous tuer nous aussi..." répond Laureen.
- "Ne t'en fais pas, ce n'est qu'un rêve rien d'autre. On en reparlera demain si tu le veux, fais de beaux rêves". prononce Sofia.


IV

Le jour se lève, les filles se réveillent. Sofia voyant que Laureen était angoissée, lui demande:
- "C'est à cause de ce cauchemar?"
- "Oui, tu sais je me suis posée beaucoup de question cette nuit. Il m'arrive de faire des rêves prémonitoires, celui ci pourrait en être un. Après tout, nous ne connaissons rien de ces personnes, ils peuvent nous mentir, nous n'en saurions rien. Ca me fiche la chair de poule cette histoire". Répond Laureen d'un air inquiet.
Sofia, se dirige vers la fenêtre et répond:
- " Tu as vu ce soleil? C'est une journée merveilleuse, on va sortir toutes les deux, se chercher un endroit ou dormir pour te rassurer. Mais tu sais tu n'as pas de raison de t'inquiéter, c'est vrai qu'on ne connaît rien d'eux, mais regarde ils sont tellement gentil avec nous, on aurait sans doute passé la nuit dehors sans eux".
Laureen restait sur sa position, elle sentait que quelque chose ne tournait pas rond, qu'il fallait qu'elles fassent attention, que quelque chose aller arriver...
" Allez vient, on va déjeuner, ils doivent sûrement nous attendre et ne t'inquiète pas nous partirons bientôt d'ici." lança Sofia à Laureen.
Elles descendent, disent bonjour puis s'installent à table.
Lucie leur demanda si elles avaient bien dormi, les filles lui répondait que oui et la remercia encore. Marc et Lucie, se regardent en souriant, voyant les filles à table avec eux.
-"Ca fait tellement longtemps que nous n'avons pas repris notre repas avec quelqu'un d'autre depuis la mort de... enfin vous savez." explique Lucie.
Le repas finit, les filles donne un coup de main avant de partir.


-"Je vous remercie pour la nuit puis le petit déjeuner, nous allons chercher un hébergement pour ne plus vous dérangez, nous laissons nos affaires ici, nous revenons plus tard" dis Sofia a Marc.
- " C'est avec grand plaisir, vous pouvez rester le temps que vous voulez, vous ne dérangez absolument pas" répond Marc.
Les filles font un sourire avant de rejoindre la porte.

V

-" Tu as vu comment ils nous regardaient pendant le repas? Avec leur petit sourire? Pourquoi ils insistent tant pour qu'on reste chez eux? Pourquoi personne vient chez eux si ils sont tellement sympathique comme tu dis? Tu ne trouves pas ça bizarre toi?" demanda Laureen à Sofia.
- " Je crois que tu prends ton rêve trop au sérieux. Ils étaient tout simplement content d'avoir de la compagnie, leur fils est mort depuis 5 ans met toi à leur place. Ils ont peut être besoin de solitude ça expliquerait pourquoi personne viendrait chez eux. Aller arrête de te poser toutes ces questions, cherchons plutôt un studio si on veut rester ici." lui répond Sofia.
Laureen s'apercevait qu'elle la prenait pas au sérieux, il fallait qu'elle trouve un moyen pour lui montrer qu'elle avait raison. Elle n'avait pas de preuves, mais elle était sûr d'elle. Elle faisait des rêves prémonitoires depuis l'âge de 13 ans, elle ne se trompait jamais quand elle avait un pressentiment...
Après avoir marché pendant 25 minutes, elles arrivent vers un petit hôtel, elles décident d'y rentrer. L'hôtelier leur refusa l'entrée, prétextant qu'il n'acceptait pas les mineurs. La nuit allait bientôt tomber, les filles ayant passer toute la journée à chercher quelque chose pour dormir et n'ayant rien trouvé, devaient rentrer pendant qu'il faisait encore jour.
Laureen était crispée, elle avait peur à l'idée de revenir là-bas, mais ne disait rien à son amie car elle savait que ça ne servirait à rien. Elle aurait plutôt préféré passer la nuit dehors...
- " Je vois bien que tu es stressée, je te laisse choisir. Soit on reste chez ces personnes qui veulent bien nous héberger gratuitement, soit demain on part à la recherche d'un logement, au risque de ne pas savoir sur quoi on peut tomber. Alors que décides tu?" Lui demande Sofia.
- "D'accord tu as gagné, mais je t'aurais prévenu" répond Laureen.
Les deux amies restaient chacune sur leur position.
- " Ecoute c'est pas que je veux pas te croire tu comprends? Mais imaginer tout ça à partir d'un simple rêve c'est un peu exagéré je trouve. Tu fais des rêves prémonitoires, je crois à ce genre de chose, mais de là à dire que ces personnes veulent nous tuer..." explique Sofia.
- " Fait moi confiance" lui répond son amie.
Revenir en haut Aller en bas
-Dreamy-
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
-Dreamy-


Nombre de messages : 1692
Age : 32
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyDim 30 Aoû - 12:56

VI

Les filles arrivent enfin, elles expliquent la situation aux deux compagnons. Ceux ci semblent ravis. Laureen s'éclipse dans les toilettes, en attendant Sofia monte les affaires dans la chambre, elle prend un livre en attendant le retour de son amie.
" Tout va a merveille, cet hôtelier ne nous à pas trahi, nous pouvons passez au plan B désormais " dit Lucie à Marc.
" Sois prudente, on pourrait nous entendre " lui répond celui ci.
Laureen avait tout entendu, il fallait maintenant qu'elle puisse sortir de la pièce pour tout raconter à son amie. Elle décide d'attendre un moment, pour ne pas prendre de risque. Elle se décide à enfin ouvrir la porte quand à sa plus grande surprise, ils se tenaient tous les deux debout devant elle. Son doute se confirmait, il fallait maintenant qu'elle fasse comme si de rien n'était, pour se protéger elle et son amie...
" Oh je suis désolé, je ne savais pas que vous attendiez." dit Laureen.
" Ne t'excuse pas, c'est toi que l'on attendait." répond Marc.
" Moi? Vous avez besoin d'aide?" répond elle, en essayant de cacher sa peur.
" Tu en sais beaucoup trop maintenant. La curiosoté est un vilain défaut on ne te la jamais dit?" répond Lucie.
" Ca suffit, je l'amène à la cave avant que son amie ne se doute de quelque chose. " lance Marc à sa femme.
Sofia, commençait justement à trouver le temps long, elle descend chercher son amie quand elle tombe nez à nez sur Lucie.
" Tu dois sûrement chercher ton amie n'est-ce pas? Ne t'inquiète pas, elle est partit chercher un hôtel plus loin que l'autre fois." s'empresse t-elle de dire.
" Mais... Pourquoi ne pas t-elle pas prévenue? " demande Sofia avec étonnement.
" Elle voulait te faire la surprise " répond Lucie.
Sofia trouve la situation étrange, elle pense à ce qu'avait dit son amie, d'autant plus que ce n'est pas son genre de ne pas prévenir. Voyant le danger, elle décide de ne plus poser de question, elle monte dans la chambre avant le repas.
" Laureen, pourquoi je ne t'ai pas cru, où es-tu? Fais moi un signe je t'en supplie." Se répète Sofia en faisant les cent pas.
" Mais oui, le portable !" s'exclame t-elle soudainement.
" Aller répond je t'en supplie" se répète Sofia.
Elle entendait une voix crier "a table !", c'était celle de Lucie. Elle cache le téléphone, reprend ses esprits, et descend en faisant comme si de rien n'était.


VII

Le repas finit, la table débarrassée, elle monte dans sa chambre. Une fois arrivé dans celle-ci, elle s'empresse de prendre son portable. Il y avait un nouveau message, c'était un sms de Laureen. Celui ci disait " Ils m'ont enfermé dans la cave, attaché les mains mais j'ai réussi à les détacher, ne reste pas ici ils sont dangereux. Part pendant qu'il en est encore temps." Sofia de sait pas quoi faire, fuir en laissant son amie entre leur mains? Ou rester en se mettant elle aussi en danger pour sauver son amie? Elle va se coucher en réfléchissant à tout ça, elle appellera les secours demain, car elle vient d'entendre qu'ils sont tous les deux dans la pièce située à côté de la sienne, elle risquerait de se faire prendre. Elle n'arrive pas à fermer l'oeil, elle voit les heures défiler sous ses yeux, le temps lui semble long.
Le jour se lève, Sofia ouvre les yeux, elle a du dormir seulement deux heures cette nuit. Elle tire ses draps, se lève et sursaute en voyant une ombre qui se tenait debout vers la fenêtre, c'était Lucie qui la regardait dormir.
" Ah c'est vous? Vous m'avez fait une peur bleue." Dit-elle en essayant de reprendre ses esprits.
" Tu es si belle quand tu dors... J'aurais bien aimé avoir une fille comme toi." répond Lucie en laissant un temps d'arrêt, puis elle enchaîne " Tu viens manger? C'est prêt". Elle part rejoindre son mari.
Sofia quand à elle, chercher son portable pour appeler les secours, elle cherche, cherche mais ne le trouve pas.
" Oh non pas ça, c'est sûrement Lucie qui a du le prendre, c'est pour ça qu'elle était là ! Et si elle a vu son sms? Elle est encore plus en danger maintenant... Tiens bon Laureen, je me servirais de leur téléphone pour nous sortir de là je te le promet."pense tout fort Sofia.
Elle descend, s'installe à table avec eux. Elle avait un plan, ils ont l'habitude tous les deux de faire une courte sieste de 15 minutes après leur repas, c'est à ce moment là qu'elle pourra se servir de leur téléphone... Le repas se termine, elle apporte son aide puis fait mine de monter dans sa chambre pendant que tous les deux, se dirigent au salon pour commencer leur sieste...


VIII

Elle attend 5 minutes, elle descend en essayant de faire le moins de bruit possible ce qui n'était pas facile car les escaliers craquaient. Elle arrive enfin en bas, se dirige vers le téléphone qui est situé a la limite du salon et de la cuisine, en faisant très attention. Elle prend le téléphone, compose le numéro, celui ci sonne occupé. Sofia a bien compris qu'ils avaient coupé le courant. Elle tourne la tête, ils dorment toujours. Elle essaie donc de chercher cette fameuse cave, où était retenu prisonnière son amie. Elle voit au loin une porte, qui pourrait bien ressembler à celle de la cave, elle se rapproche, mais la main sur la poignée pour tenter de l'ouvrir, mais celle-ci était fermée. Elle se retourne, et les voient tous les deux, avec leurs yeux fixés sur elle.
" On aurait pu t'épargner, mais comme ton amie tu apprendras que la curiosité est un vilain défaut... Tu n'es qu'une petite fouineuse, tu vas rejoindre ton amie, subir le même sors qu'elle..." s'exclame Lucie.
" Qu'est-ce que... qu'est-ce que vous lui avez fait? demande Sofia inquiète pour son amie.
" Tu vas bientôt le savoir" lui répond elle.
Marc la prend, ouvre la porte de la cave avec une clef, l'attache à son tour, non loin de son amie. Il s'éloigne ferme la porte. Grâce à une fenêtre, il ne faisait pas totalement noir, elle peut apercevoir son ami qui semblait inconsciente.
" Laureen, Laureen, réponds moi" répète t-elle tout fort.
Elle entend aucune réponse, elle se met à réfléchir à comment elle pourrait se détacher pour sortir d'ici. Le silence se faisait entendre quand d'un coup une voix fatigué se fait entendre.
" J'avais rai... raison. Re...regarde par terre, prend un bout... de ve... verre, pour te dé... détacher."
" Laureen tu es vivante, t'inquiète pas je vais nous sortir de la" lui répond Sofia d'un air rassurant.
Tout d'un coup la porte s'ouvre, c'était eux, ils apportent à boire et à manger, avant de fermer la porte, Lucie regard Sofia et lui dit d'un ton menaçant "Mange, si tu ne veux pas ressembler à ton amie." puis elle ferme la porte.
" Pourquoi elle empoisonnerait cette nourriture alors que quand on était à table ce n'était pas le cas? Je vais goûter, peut être qu'elle veut juste nous faire peur.
" Non... ne touche... à rien, la nouri...nourriture est... empoi...sonné ainsi que... l'eau, fais moi... con...confiance" dit Laureen à bout de force.
" Très bien, alors il faut trouver la sortie et vite, il y a une chose que je t'ai pas dite... je suis claustrophobe" répond Sofia.


" Je suis... avec toi... tu ne crains...rien."
Sofia qui se montrait forte jusqu'à maintenant se met à sangloter
" Ce fichu morceau de verre, j'arrive pas à me détacher, j'y arrive pas ! Je suis désolé, c'est de ma faute j'aurais du te croire. Je ne peux même pas t'aider, j'arrive pas à me détacher ! Je suis qu'une idiote ! " s'exclame t-elle en jetant son morceau de verre.
" C'est... faux... Ne pa... panique pas, respire.... calme... ment, et ne dis... pas de... bêtises... plus grosse... que toi ! répond Laureen en essayant de la calmer..
Revenir en haut Aller en bas
-Dreamy-
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
-Dreamy-


Nombre de messages : 1692
Age : 32
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyDim 30 Aoû - 12:59

IX

Marc et Lucie eux, était ravis, tout fonctionnait comme sur des roulettes. Leur plan est celui de laisser ces deux gamines enfermé dans cette cave, jusqu'à qu'elles poussent leur dernier souffre. On sonne a la porte, c'était l'hôtelier.
"Ah c'est vous, vous voulez votre argent?" demande Marc.
" Non, je veux savoir où sont ces deux filles. Je me suis renseigné sur vous, je sais que ça tourne pas rond dans vos têtes. Toi Lucie, tu étais interné a l'asile il y a encore deux mois de cela, tu n'as jamais aimé les enfants, c'est pour ça que tu as tué ton fils. Bien sûr tu t'en ai servi comme excuse pour sortir, ce qui a bien évidement marché. Quand à toi Marc, j'ai été voir un de tes amis, d'après lui tu as beaucoup changé, depuis que tu es avec elle, tu es devenu aussi cinglé qu'elle, c'est le terme exact qu'il a employé. En tout cas ce jeu la est fini, la police ne va pas tarder à arriver, vous allez payer pour tout ce que vous avez fait. Maintenant où sont-elles?" raconte l'hôtelier.
" Vous ne le saurez pas... Vous arrivez trop tard..." répond Lucie.
" Vous entendez les sirènes? C'est fini pour vous, le mieux serait de vous rendre, de faire sortir ces filles rapidement..." leur explique t-il.
Les policiers arrivent enfin, deux d'entre eux sortent de la voiture, en se dirigeant rapidement vers les deux individus, leur mettent rapidement les menottes avant qu'ils ne puissent agir, puis les enfermes dans la voiture.
" Fouillez cette maison dans les moindres détailles" s'écrie l'un d'eux.
Après 10 minutes de recherche, ils trouvent la cave, enfonce la porte, et découvrent les deux filles. L'une d'elle était allongée, inconsciente c'était Laureen, sont état de santé ne c'était pas arrangé. Quand à Sofia, elle transpirait, elle n'attendait que de sortir de cette endroit. Après avoir détacher les filles, ils les amènent toutes les deux dehors. Sofia, récupéra vite, ce qui n'était pas le cas de son amie... L'ambulance arrive, ils s'occupent de Laureen, partent en direction de l'hôpital, Sofia n'a pas lâchée sa main durant tout le long du trajet.


X

Laureen était resté seulement deux jours à l'hôpital, elle a guéri rapidement, personne n'a su ce qu'elle avait eu réellement, même pas elle. La famille de chacune avait était très inquiète durant cette expérience. Aujourd'hui, les deux familles ayant fait plus ample connaissance sont devenue très proche. Dans chacune d'entre elle, tout c'est arrangé, les engueulades ce sont transformées en fou rires permanent. Pour ce qui est des deux amies, leur amitié c'est endurcie, elles se sont rendu compte à qu'elle point elle comptait l'une pour l'autre. Elles ne se séparent plus, elles ont encore beaucoup de projets qu'elles comptent bien réaliser un jour...
Revenir en haut Aller en bas
-Dreamy-
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
-Dreamy-


Nombre de messages : 1692
Age : 32
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptySam 10 Oct - 12:26

Amertûme

Je vis dans un monde qui n'est pas le mien,
la politesse, le respect, l'intelligence sont en voie de disparition,
contrairement à la connerie humaine,
qui elle, est en forte augmentation.

Je me réveille chaque jours,
sans ne savoir pourquoi, je n'en n'éprouve aucune joie.
Tout le monde à un petit quelque chose qui le motive,
ma motivation à moi est partie, je ne sais où.

Je n'arrive plus à me lever,
sourire comme si de rien n'était,
aimer des personnes,
tous aussi hypocrites les unes que les autres.

Aujourd'hui je n'ai plus d'amis,
seulement des connaissances.
Ces amis d'enfance, qui illumine tant votre enfance,
sont partis eux aussi.

Bien sûr, j'ai connu des instants de bonheur,
comme la rencontre avec cet être si cher,
qui me semblait inimaginable,
avec qui j'ai passé cinq jours inoubliables à ses côtés.

Mais aujourd'hui je n'arrive plus à avancer,
ces idées noir reviennent sans cesse dans ma tête,
c'est comme la pluie qui a beau s'arrêter, mais qui revient toujours.
Qui suivre? La raison? Elles? Un des deux l'emportera, mais qui?

Donnez moi une raison de vivre,
du courage pour vivre,
quand les êtres aimés, famille, amis,
vous oublies ou ne vous remarque même pas.

Donnez moi du poison pour mourir,
ou des rêves pour continuer de vivre,
dans un monde qui n'est qu'illusion,
où chaque personnes jouent un rôle.
Revenir en haut Aller en bas
Megaera
Reine
Reine
Megaera


Nombre de messages : 3467
Age : 34
Humeur : Obsessed.
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptySam 10 Oct - 20:02

Je suis désolée que tu sois mal en point comme ça. J'espère que tu vas tomber sur des gens valables quand même.
Revenir en haut Aller en bas
RoCkSanne
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
RoCkSanne


Nombre de messages : 1739
Age : 38
Humeur : Nothing to confess.
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyLun 25 Jan - 23:29

Comme je vous l'ai raconté, je me suis inscrite à un atelier d'écriture, d'abord dans le cadre d'une EC libre, puis là maintenant en loisir. Je participe toujours à cet atelier, car je m'y sens finalement assez bien. Y'a tout plein de tarés, de déchirés, de passionnés, c'est intéressant. Certains de nos textes seront lus, mis en scène, en images, en musique, lors de la semaine des "Etudiants à l'affiche". Allez, j'arrête de faire ma grosse timide, je me sors les doigts, j'ai eu envie tout d'un coup de vous faire lire quelques-uns des textes que j'ai écrit pour l'atelier.

Consigne pour ce texte: écrire sur son reflet, et particulièrement "lorsque l'on ne se reconnait plus dans le miroir..."






Lorsque l’on ne se reconnait plus
dans le miroir…






J’évite les miroirs. J’évite le regard de
cette personne qui pourrait être moi, qui est peut-être moi, mais qui ne
m’inspire pas. Elle se tient là, de l’autre côté de cette surface lisse et
froide, en symétrie imparfaite, il me semble qu’elle me ressemble, mais elle
n’existe pas. Elle ne prend vie que lorsque mon regard croise le sien, lorsque
mon teint pâle va se cogner contre le tain glacial du miroir. Mon reflet n’est
pas moi, il ne reflète que mon image physique, ce que tout le monde voit. Je me
regarde dans un miroir et je ne me reconnais pas. Je ne vois pas mes souvenirs,
ne distingue ni mes pensées, ni mes émotions, et me perds dans mes réflexions.
Je réfléchis devant cette chose qui me réfléchit, elle me reflète mais ne me
révèle point. Il n’y a là que mon image physique, de la matière, de la chair,
de l’éphémère. Je me regarde dans le miroir mais je ne me reconnais pas. Je ne
reconnais plus ce que j’étais, je ne vois plus l’enfant que j’ai été. La petite
fille blonde aux yeux bleus a disparu, elle et son reflet. Un autre reflet me
présente ce que je semble être aujourd’hui. Un corps grandi, quoiqu’un peu
tordu. Des cheveux qui ont souvent changé, de longueur, de couleurs, qui ont
subi mes lubies et mes envies. J’y vois des yeux dont je ne saisis pas
l’expression. Est-ce mon reflet qui me méprise ? Et il me nargue, cet
imbécile, il me renvoie en pleine face mon regard insolent. Je n’y vois pas la
jeune femme vive et joyeuse que je pense être. J’y vois une personne étrange,
ailleurs, que je suis peut-être. Je ne reconnais pas l’enfant, et j’imagine
l’adulte que je serai, le miroir me présente déjà quelques échantillons des
effets que la vieillesse fera sur mon visage. Il se creusera, me dit mon reflet,
et tu vois là, et là, il s’affaissera, quelques rides ici, sans doute une
grosse là. Quant aux cheveux, je ne t’en parle même pas, tu verras, et
crois-moi je ne mens pas.



Mon reflet n’est pas optimiste, il est
fatalement réaliste, et pourtant il peut m’arriver de l’apprécier. Quelques
artifices, la lumière idéale, la température idoine, je pourrais presque
l’aimer. Mon reflet ne me connait pas, ne sait rien de moi. Il m’a vue grandir,
me verra vieillir, mais après ? Il ne saura jamais qui se cache derrière
le tain, ce qu’il y a derrière la matière, la chair et l’éphémère. Mon reflet
est-il mon autre moi ? Est-il un substitut ou un intrus ? Est-il un
ennemi à défier, un ami à aimer ? Mon reflet devrait aller se faire voir.
Pourtant il me rend quelques services. C’est lui qui me
dit : « Non, cette forme de robe ne te va pas », et
« tu as des épis en forme d’antennes sur le haut de la tête » Mon
reflet n’est pas moi, il a pourtant tous les droits. Il peut être cruel,
insolent, mais aussi indulgent. J’évite les miroirs, ils ne reflètent que le
superficiel, ce n’est que l’intemporel qui ne se voit pas.
Revenir en haut Aller en bas
RoCkSanne
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
RoCkSanne


Nombre de messages : 1739
Age : 38
Humeur : Nothing to confess.
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyLun 25 Jan - 23:31

Consigne pour ce texte: à partir de cet extrait de lettre à Tolstoï, imaginez une histoire, ce que le terme "contemporain" pourrait signifier...






-Je vous écris pour
vous dire à quel point je fus heureux d’être votre contemporain-



(Tourgueniev à
Tolstoï)






Il pleuvait ce soir-là. Il devait être onze
heures, peut-être minuit, l’heure où les familles se reposent. Les enfants sont
couchés, on éteint la télé. On embrasse sa femme, son mari, et l’on s’endort
paisiblement comme si le bonheur nous appartenait. Il pleuvait ce soir-là, et
moi j’étais là, dehors, dans une rue sinistre fréquentée par des ivrognes et
des hommes en mal d’amour.



Il faisait froid ce soir-là, et je
grelottais dans ma robe courte, mais je me devais d’afficher une confiance
arrogante, je devais avoir l’air chaude alors qu’il faisait moins cinq. Je
voyais passer des hommes, gras, bedonnants, affligeants. Je réprimais mon
écœurement et j’allais les aborder. La traque à l’homme n’était pas brillante
ce soir-là. Puis, je vous ai vu, vous, et votre air perdu. Vous m’avez
regardée, sans envie ni mépris, et cela m’a troublée. Me voyiez-vous comme une
dingue, comme une pauvre fille perdue, ou simplement comme une femme ? Je
me suis avancée vers vous, et comme si nous étions familiers, je vous ai
abordé, je me suis entendue vous dire des mots que l’on m’oblige à
formuler : « bonsoir, mon lapin, alors tu es seul ce soir ? »
vous avez simplement hoché la tête, timidement, et je vous ai annoncé le tarif.
Nous nous sommes rendus dans un hôtel, comme cela se fait, et en grande
experte, je me préparais, c’était mon travail. Qu’y a-t’il de mal à consoler
les hommes qui se sentent seuls ? Le temps m’avait appris à ne plus avoir
honte, à ne plus ressentir d’envie, de désir, de plaisir. Je simulais mon
orgueil comme mes orgasmes.



Vous restiez silencieux et m’observiez,
immobile. Vous savez, dans mon métier, on ne s’étonne plus de rien. J’attendais
de vous une quelconque suggestion, un ordre, j’aurais pu vous piétiner le torse
avec mes talons aiguilles si vous me l’aviez demandé. Mais rien. Ce que vous
m’avez demandé ? C’était de parler. Offre perturbante pour moi, je ne suis
pas habituée. Pourquoi avoir accepté de monter avec moi dans cette chambre
d’hôtel ? Oui, vous vous sentiez seul. Alors effectivement, nous avons
parlé. Je vous ai écouté me parler de votre enfance, de votre départ de votre
ville natale, de vos rêves brisés, reconstruits, abîmés, abandonnés, par
lâcheté. Et vous m’avez fait parler, aussi.



Alors pour la première fois, c’était mon
cœur que je mettais à nu, dans cette étrange nuit. Je vous ai raconté ma vie,
et pourquoi j’en étais arrivée ici. Grâce à vous j’ai oublié, le temps d’une
nuit, que j’étais une pute. Ce soir-là vous m’avez traitée comme votre reine,
je vous écris pour vous dire à quel point je fus heureuse d’être votre
contemporaine.
Revenir en haut Aller en bas
RoCkSanne
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
RoCkSanne


Nombre de messages : 1739
Age : 38
Humeur : Nothing to confess.
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyLun 25 Jan - 23:33

Voilà, bon, je ne vous en mets que deux. C'est pas du Baudelaire, hein, c'est juste des trucs que j'ai écrit très vite (soit j'écris tout d'un coup, tels que les mots me viennent, sans me corriger et sans me relire, soit je n'écris pas du tout), donc ce n'est certainement pas parfait. 'Fin voilà ce que ça donne.
Revenir en haut Aller en bas
Megaera
Reine
Reine
Megaera


Nombre de messages : 3467
Age : 34
Humeur : Obsessed.
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyMar 26 Jan - 8:23

Pour le 2ème texte que j'aime beaucoup, je trouve que tu as eu une idée dingue en écrivant tout ce scénario...

J'aime bien le choix des mots dans tes écrits. Tu trouves les bons adjectifs aux bons noms. C'est précis et choisi.
Revenir en haut Aller en bas
-Dreamy-
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
-Dreamy-


Nombre de messages : 1692
Age : 32
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyMar 26 Jan - 17:25

J'aime beaucoup le premier texte.
Revenir en haut Aller en bas
RoCkSanne
Petit Arbrisseau
Petit Arbrisseau
RoCkSanne


Nombre de messages : 1739
Age : 38
Humeur : Nothing to confess.
Date d'inscription : 20/04/2008

Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... EmptyMar 26 Jan - 18:12

Thanks les filles! Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Icon_smile
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty
MessageSujet: Re: Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...   Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici... Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Si vous écrivez des nouvelles (poèmes...) c'est par ici...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Ce que vous faites...
» Vous et les concerts
» Vous et votre look.
» Les magazines et vous
» Les émissions que vous regardez

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Culture :: "Créer, c'est aussi donner une forme à son destin." Albert Camus-
Sauter vers: